« [...] Nul n'est digne de vivre, cria-t-il d'une voix forte, s'il ne sait pas... s'il ne sait pas...
- Quoi donc, Père ? murmura la voix à son côté.
Rook fit retentir ses paroles d'une voix victorieuse :
- S'il ne sait pas combien la Vie exige de nous d'être comprise et aimée ! »
John Cowper Powys
(in Givre et Sang, p. 321)
Alfred Kubin, Le dernier Roi, 1902 |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire